On comprend immédiatement à lecture du schéma ci-dessous que : : l'enseignement traditionnel est une transmission du savoir, de maitre à disciples, dans le cadre d'un dojo : : "do : voie... jo : lieu" lieu où l'on étudie la voie du maitre du dojo...
<= Ce schéma résume tout : c'est l'ossature du système traditionnel son essence.
La transmission d'un savoir de maitre à disciple C'est ce qui vous indique que vous êtes dans un "art martial traditionnel japonais" fidèle à l'enseignement du fondateur de l'aïkido , et surtout pas dans le club de gym du coin, un "club" de n'importe quoi qui prétend enseigner l'aïkido en faisant exactement l'inverse de ce que voulait son fondateur, "affilié à une fédération sportive" ... afin qu'on ait aucun doute sur son incompétence et son ignorance.
"L'Aïkido est l'inverse d'un sport " Morihei Ueshiba fondateur de cet art martial
On a donc : ni le fonctionnement d'un sport, ni les objectifs d'un sport, car c'est autre chose "l'Aïkido est un art" martial de surcroit. Un art ne se pratique pas dans un "club sportif". Connaissez-vous le "club de musique classique" membre de FFM la fédération française de musique agrée ou habilitée jeunesse et sport ? C'est ignorer ce qu'est un agrément, soit la possibilité de représenter la France dans des compétions ou championnats internationaux.... Pour un aïkidoka c'est aussi ridicule.
Les premiers pratiquants élèves des disciples du fondateur de l'aïkido, ont appelé leurs associations européennes : Association Culturelle ...... Il y avait ainsi en France l'ACFA : A ssociation C ulturelle F rançaise d' A ïkido. ACBA pour les belges, etc.
Les dérives sportives sont apparues bien plus tard... Après la mort du fondateur ses héritiers successifs plus intéressés par le business que l'Aïkido sont allés naturellement vers le sport, vers l'argent.... Comme avant eux le judo, le karaté, etc.
le sport, vers l'argent.... Comme avant eux le judo, le karaté etc. Sommes toute logique : quand on devient ignorant et incompétent on se réfugie dans ce qu'on connait ou croit connaitre.
Morihei Ueshiba l’a dit : "L'Aïkido est l'inverse d'un sport ". Il n'a donc ni le fonctionnement d'un sport, ni les objectifs car c'est un art.
Un sport par exemple fonctionne à l'opposé de cela : fédération ligue champion, etc., autant de chose qui n'ont aucun sens en aïkido comme le démontre ce schéma.
Erreur, des élèves d'Alain Peyrache, cadres d'airbus, fleuron de l’industrie, ont été surpris de voir que leur innovante entreprise prône les mêmes valeurs qu'un dojo traditionnel. Une efficacité qui a fait ses preuves.
On voit que le dojo ici dans le cadre du placement sur le tapis et début et fin de cours dépend de la structure pyramidale ci-dessus. La place de chacun ne dépend pas d'un grade, d'un diplôme, d'une évaluation bidon, caricature de l'éducation nationale.
En dehors d'un dojo cette hiérarchie n'a aucun sens. On comprend la stupidité et l'ignorance de ceux qui pensent avoir un diplôme national ou mondial???
"Se la péter avec un grade", une couleur de ceinture est une marque particulière de stupidité, celle qui indique un égo obèse et incurable.
Un uchi deshi peut remplacer le professeur au kamiza ou agir à sa place. Les plus anciens uchis deshis peuvent laisser le kamiza à un moins ancien qui a besoin de ce travail en situation etc.
Notre professeur Alain Peyrache est le professeur de nombreux autres professeurs dans divers pays, ce qui complique le positionnement de chacun des membres de notre dojo lorsqu'ils sont présents : exemple les stages internationaux...
Il enseigne aussi dans d'autres endroits Tassin et Bourg la semaine, les WE et les vacances dans divers pays. Il nous faut donc trouver notre place avec les élèves de ces 2 dojos proches voire tous les autres quand nous sommes tous réunis.
C'est la base de la pratique martiale notre adversaire est-il plus fort ou moins fort, sempaï ou kohaï ? Personne ne nous le dira mais l'erreur est fatale. Se tromper c'est démontré son incompétence.
Il s'agit bien de la pratique martiale elle-même chaque personne est un moyen d'évaluer nos compétences, notre jugement. Certains d'entre nous sont élèves du dojo et aussi professeur de leur dojo.
Pascal est le professeur de 2 dojos. Les élèves de ces dojos viennent aussi suivre des cours dans notre dojo. Eux comme nous devons trouver notre place.
Notre professeur n'agit pas de la même manière avec nous ses élèves directs et ceux de Pascal. Il n'a pas les mêmes exigences etc.
Une pratique égalitaire, parce qu’entre potes du même club, c'est obligatoirement faire autre chose qu'une pratique traditionnelle c'est de l'incompétence ou de l'arnaque voire souvent les 2...
Il est donc facile de savoir où on met les pieds et ce qu'on fait. Mais il n'y a que des pratiquants de disciplines traditionnelles qui peuvent vous le dire et vous indiquez cette structure hiérarchisée qui n'existe que dans ce cadre.
Un Uchi-deshi est un disciple vivant à temps complet dans le dojo de son maître, ou disciple « interne » . Ce terme est opposé au terme de Soto-deshi qui désigne un disciple « externe ».
Interne: uchi Externe: soto Disciple: deshi
Dojo Quand un professeur parle de "son dojo" ("Do"= lieu "jo" lieu où l'on étudie la voie) : il parle de ses élèves, de son enseignement, il ne parle pas des lieux ou bâtiments. Un professeur enseigne dans des lieux très divers autres qu'un tatami : plage, pelouse du stade, au milieu des bois, salle de sport... etc., afin de ne pas habituer ses élèves à un tapis et à un lieu spécifique. Un pratiquant de budo (bushi : guerrier) doit s'adapter et pratiquer sur n'importe quel terrain et pas seulement sur un tatami. Le plus joli bâtiment appelé dojo occupé par un professeur d'art martial incompétent ne sera jamais un dojo, un professeur compétent dans n'importe quel lieu en fera un "dojo" car c'est le professeur qui montre la voie pas le bâtiment. On ne confond pas l'écrin et le bijou, comme il ne suffit pas de mettre un "kimono" pour devenir un pratiquant.
Les professeurs d'aïkido sont rarement propriétaire des locaux à moins d'avoir une fortune personnelle. Le fondateur de l'aïkido lui-même a eu les 3/4 de sa vie des dojos dont il n'était pas propriétaire. C'était néanmoins "son dojo" et "ses deshis" et "uchis deshis" et comme tous les professeurs il parlait de "son dojo".
Le dojo de Villefranche est une magnifique réalisation de la ville de Villefranche comme il a été dit dans la page de présentation.
Lorsqu'il ne paie pas sa cotisation et qu'il n'est pas inscrit dans le dojo ou exerce régulièrement le Maître, lorsqu'il n'y vient que de temps en temps en invité ou qu'il suit les cours de son Maître dans son propre dojo ou d'autres dojos externes " un sportif dirait "stages", l'élève est désigné par le terme "soto deshi". C'est quelqu'un qui suit moins régulièrement les cours de son sensei.
Attention aux escrocs: Des professeurs d'aïkido peu honnêtes et sans scrupules utilisent souvent la réputation d'un maître et se prétendent son "élève" ou "représenter son enseignement" alors que ce n'est pas le cas. (C'est pourquoi nous mettons les photos des uchis deshi sur cette page par exemple.)
Le fondateur de l'aïkido a eu ainsi une multitude de "fils spirituels soi-disant missionnés par lui"... qui n'ont fait que quelques cours avec lui dans le meilleur des cas....
Leurs objectifs : duper les gens sur leur compétences réelles, donner un crédit et une valeur à leur conception très personnelle de la discipline.
Pour prétendre être "élève" ou "représenter l'enseignement du Maître cela parait évident : il faut suivre régulièrement les cours du Maître, car celui-ci évolue constamment. Son enseignement n'est pas figé, normalisé, le "Do" est le chemin de la perfection et il est sans fin. Ce que le maître a mis 40 ans à maîtriser ne pourra pas l'être en 10 ans par un de ses élèves fut il le meilleur. N'importe quel débutant peut vérifier il suffit de regarder qui se trouve dans l'entourage du ou Maître ou demander au Maître.
Afin que les débutants ne se trompent pas : un élève jugé indigne de représenter l'enseignement de son Maître est renvoyé du dojo afin de garder la qualité de l'enseignement. Un maître ne garde pas un élève qui donne une interprétation personnelle et fantaisiste de son enseignement pour satisfaire son égo-obésité galopante. Car cet individu lui fait perdre son temps, il pollue les autres élèves et il rend la progression de tous plus difficile.
C'est pourquoi avant de monter sur le tatami à chaque cours on demande au maitre l'autorisation, celle-ci dépend de la façon dont vous suivez son enseignement et à la façon de vous comporter dans un dojo : respect de l'étiquette, des pratiquants etc. voir le chapitre notions de bases.
Comme avait coutume de dire le fondateur de l'aïkido : "la voie de l'aiki est semblable au fil d'un sabre un pas de côté ce n'est plus la voie". L'Aïkido c'est "misogi" c'est à dire éliminer ce qui est inutile, nous encombre, nous empêche de progresser sur le tapis et au dojo.
Évidement l'élève renvoyé du dojo n'ira pas s'en vanter et trouvera un tas d'arguments pour justifier qu'il ne voit jamais le maitre auquel il se réfère.
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