Les élèves d'Alain Peyrache sensei, comme tout élève d'aïkido traditionnel, parlent de leur maitre : belges, hollandais, français ont créé des sites où ils parlent de leur maitre par exemple.
Il existe 2 fonctionnements : "le fonctionnement sportif que tout le monde connaît" et le "fonctionnement traditionnel à l'opposé du fonctionnement sportif"
Comme on ne peut pas être à la fois au jour (yang) et dans la nuit (omote) on ne peut pas être sportif et traditionnel ou traditionnel et sportif. Ceux qui le prétendent car ils visent l’argent du pauvre gogo non informé sont des menteurs voir des escrocs comme ceux qui vous vendent du fromage de soja pour du camembert appellation d’origine contrôlée…
Comme on ne peut pas être à la fois au jour (yang) et dans la nuit (omote)...
On ne peut pas prétendre faire de l’aïkido traditionnel dans un dojo et être un club sportif d'aïkido membre de la fédération xx reconnu par jeunesse et sports qui ne reconnaît que le fonctionnement sportif comme son nom l'indique.
Car c’est confondre culture et sport.
C’est vrai qu’il suffit de voir quelques sportifs comme certains footballeurs bien connus et brocardés par els humoristes pour cela, pour se rendre compte de leur inculture . S’il sont médiatique on en fera des ministres on aura les voix de leur supporter tout aussi intelligents…
Les « sportifs » n’ont aucun scrupules à le faire persuadé de leur universalité incontournable… Normal on est champion que si l'on écrasé les autres même par des moyens que la morale réprouve : dopage corruption etc... "Le fameux esprit sportif tant vanté...". Un business hypocrite (on fait croire à ses bienfaits confusion avec l'activité physique qui n'est pas l'apanage du sport) juteux qui rend sourd et aveugle... Y a-t-il des journalistes de l'activité physique bonne pour la santé ? NON!!! Mais une armé de journaliste sportifs de presses sportives qui vous matraquent tous les jours dans tous les médias, il ne faut donc pas s'étonné qu'après ce lavage de cerveaux la plupart de gens ne voit pas la réalité... confondent activité physique adaptée à soi et sport vaincre au mépris de sa santé et des celles des autres...!
Un club martial sportif de la fédération X… à un "fonctionnement sportif" à l'opposé du "fonctionnement traditionnel". Faire croire que l'on peut faire tout et son contraire est donc une arnaque courante…
Cliquez sur les liens : « arnaques martiales » plus bas vous serez édifié.
Entuber et arnaquer le consommateur en toute impunité est devenu monnaie courante de nos jours le monde industriel nous le démontre tous les jours, mais aussi des fédérations sportives martiales... Pas étonnant que les fédérations sportives fassent de même. Certains vous diront même pour se justifier: "puisque tout le monde fait ce serait idiot de ne pas le faire." Ce serait devenu la norme à les entendre.
Connaissez-vous une quelconque fédération sportive plongée dans des scandales à n'en plus finir, (il suffit de regarder les informations à la télévision) s'être fait sanctionner par le ministère de la jeunesse et des sports ?
Voir dans le menu en haut la page "aïkido"
Comme tout ce qui est traditionnel. "Le fonctionnement traditionnel" c'est : "la transmission d'un savoir de maître à élève." Ce n'est à l'évidence pas le fonctionnement martial sportif où il n'y a pas de maitre et où il n'y en aura jamais.
Club martial sportif = "un sport martial sans maitre"
Où sont les grands maîtres japonais qui ont lancé le judo en France ? Voyez-vous ces maîtres dans les clubs sportifs de judo ? Pourquoi ont ils disparus...? Aucun fonctionnement sportif n'y échappe : judo, karaté etc.
Etonnant non..! C'est pourquoi aucun maitre digne de ce nom collabore avec une fédération sportive ce serait suicidaire...
Non vous voyez qu'une statut en carton de Teddy Riner, des posters de champions mais aucun maître Il y a longtemps que l'on ne salue plus le fondateur du judo au kamiza. le statut de maître est inacceptable pour le fonctionnement sportif c'est un contre-pouvoir un concurrent pouvoir sportif, toute idée de mettre est donc à détruire pour un sportif.
Le but d'un judoka, d'un karatéka n'est pas de devenir un maître de son art mais un champion on peut faire ce constat dans tous les clubs de judo ou de karaté.
Un dojo japonais a un "fonctionnement traditionnel", à l'inverse d'un club sportif d'arts martiaux européens qui fonctionne lui selon un "modèle sportif" c'est à dire exactement à l'opposé du système traditionnel. Vous en avez une splendide dans chaque club de judo de karaté etc...
Dans un dojo l'ego est un problème, un frein à l'évolution on progresse ensemble... la pratique sportive est à l'opposée devenir le meilleur le champion écraser les autres, l'ego le centre de la motivation... là aussi l'inverse;..
Vous verrez donc très souvent des clubs sportifs martiaux vous proposer un enseignement traditionnel??? il s'agit d'une arnaque classique.
Le traditionnel est à la mode c'est donc pour les fédérations sportives un argument de marketing afin de tromper le consommateur potentiel, il n'est pas question de perdre un client.
Donc le club martial sportif appartenant à la fédération X… reconnue par le ministère de la jeunesse et des sports comme l'indique cette reconnaissance il s'agit d'un fonctionnement sportif, d'où la reconnaissance du ministère des sports qui imposent ce fonctionnement, sinon pas de reconnaissance.
L'enseignement traditionnel est donc facile à reconnaître, il est du domaine du culturel jamais du sportif.
Le modèle sportif industriel voir moderne a toujours détruit le modèle traditionnel de partout même en Orient exemple la médecine occidentale à détruit de partout la médecine traditionnelle (Le business des labos).
Dans le monde de l'éducation en France par exemple "l'éducation nationale" et autres établissements d'enseignements privés qui fonctionnent sur le même modèle ne sont pas des méthodes d'éducation ou d'apprentissage traditionnelle ...
On n'y fait d'ailleurs pas d'éducation mais de l'instruction… là aussi le terme est impropre.
Le compagnonnage qui existe toujours à un fonctionnement traditionnel: le compagnon(l'élève) se forment auprès d'un Maître.
Difficile à gérer, impossible à contrôler pour un État démocratique qui veut tout contrôler, donc toléré démocratie oblige liberté d'association, d'idées etc.
là aussi les sportifs ignorent totalement le mot démocratie, persuadé d'être incontournable et la seule voie possible du haut de leur ego ce qui est bien normal puisque le sport a pour objectif de porter l'ego à son maximum : « devenir un champion » le seul, l'unique, le meilleur du monde. Il est donc normal que ce conditionnement sportif façonne intellectuellement tout individu pratiquant un sport dans le même sens. Le pire c'est qu'ils ne s'en rendent même pas compte. Mais comme disait Coluche :
"Les sportifs, le temps qu'ils passent à courir, ils ne le passent pas à se demander pourquoi ils courent. Et après on s'étonne qu'ils soient aussi cons à l'arrivée qu'au départ." Coluche Sans aucun effet à ce jour sur le moindre coureur à pied.
"Les sportifs, le temps qu'ils passent à courir, ils ne le passent pas à se demander pourquoi ils courent. Et après on s'étonne qu'ils soient aussi cons à l'arrivée qu'au départ."
Coluche Sans aucun effet à ce jour sur le moindre coureur à pied.
Aïkido interview »
Arnaquer le pratiquant c'est malheureusement trop fréquent dans le monde martial
Le but d'une revue c'est de vendre un maximum... Pour cela tout est bon... Donc quand ça dérange on ne publie pas...
Il n'y a que le lecteur qui pense qu'il va apprendre quelque chose en lisant un livre ou une revue...
Un article qui dérangeait le demandeur. Fort de café lorsqu'on demande l'avis de quelqu'un c'est qu'on est prêt à l'entendre, la démonstration que ce n'est pas le cas pour les revues d'arts martiaux...
Il s'agit de uniquement de conforter la ligne éditoriale. Les auteurs sont là pour cautionner...
Article aïkido censuré en 2013 »
Alain Peyrache ne court pas après les revues. Il accepte parfois de répondre à une interview... Il dit toujours ce qu'il pense, tant pis si cela déplait, une question d'éthique pour lui. C'est pour cela qu'on l'apprécie ou qu'on le déteste...
Un constat : le courage n'est pas une qualité dominante dans les arts martiaux... On s'occupe de soi et le reste... Mais trop c'est trop, des pratiquants visiblement étrangers ont mis leur temps et ces sites à disposition. On ne peut que les remercier. De magnifiques exemples bien réels de ce qui précède et que vous allez trouver bien fade par rapport à la réalité.
Site "Arts martiaux : stop aux arnaques !" » Site Stop-Arnaques-Arts-Martiaux »
un peu par hasard, encouragé par un de ses amis ; il pratique alors dans le dojo d'un élève d' André NOCQUET.
Poussé par une soif de connaissance qui accompagnera tout son parcours, il suit Gérard DESCOLLONGES, l’un des assistants de son professeur, dans les stages des plus grands élèves de Maître Ueshiba, fréquentant ainsi les Maîtres Nakazono, Tada, Tamura, Noro, Asai… il aura l'occasion de travailler avec presque tous les élèves directs du fondateur de l'aïkido. Aucun de ces maitres à l'époque n'est établit de manière durable, il est donc difficile de choisir un maitre, il faudra attendre la venue de Me Tamura.
En quelques mois, pourtant très jeune 13 ans il prend conscience que le discours de son professeur, qui ne cessait de se dire: "élève du seul représentant légitime, de la seule fédération reconnue, était fort loin de témoigner d’une attitude juste et honnête.... ".
Il apprendra plus tard que c'est le discours habituel des incompétents qui cherchent par tous les moyens à crédibiliser leurs délires. Celui qui est compétent n'a jamais ce discours. Sa compétence se voit.
La première année où il pratique il apprend donc que l'aikido est peuplé d'escrocs et d'arnaqueurs en tous genres. Un bon jugement est donc une qualité essentiel pour le pratiquant
si on confie son avenir en aïkido à n'importe qui... il est logique qu'on fasse ensuite n'importe quoi...
Ce fut là, l’occasion de sa première leçon d’aïkido : ne se fier qu’à son propre jugement. Il devient en 1965 uchi deshi de Gérard DESCOLLONGES, lorsque ce dernier ouvre son propre dojo.
Alain Peyrache se retrouve responsable du dojo. Il se forme par ses propres moyens et enseigne dans des conditions difficiles ; motivé, il parcourt 30 kilomètres à vélo, par tous les temps, pour pratiquer l’aïkido dans une salle sans chauffage.
Parallèlement, il étudie la médecine chinoise et engage des recherches philosophiques. Chaque fin de semaine, il sillonne les routes pour travailler avec l’ensemble des élèves du fondateur de passage en France et en Europe.
A l’intérieur du dojo les relations sont difficiles. L’aïkido étant une section d’un club de judo, qui regarde d’un mauvais œil le développement d’une discipline concurrente, il comprend qu’il ne sert à rien de lutter contre des moulins à vents et créé son propre dojo en 1970, en achetant un tatami à crédit.
pour atteindre un objectif, il faut croire en ce que l’on fait et mettre toute son énergie dans sa démarche, sans jamais s’abriter derrière des prétextes fallacieux, par exemple dire ne pas avoir de bons diplômes, pour expliquer ses échecs.
Pendant cette période, il se forme à l’esprit véritable des arts martiaux : apprendre à identifier ses erreurs, pour ne plus jamais les reproduire. Découvrant le sens profond de l’aphorisme oriental « huit fois par terre, neuf fois debout »,
il comprend qu’on ne peut progresser que sur la voie du discernement : savoir ce que l’on cherche, se situer constamment du côté de la cohérence, ces principes éthiques deviennent sa véritable ligne de conduite.
à toutes les initiatives qui visent à donner à l’aïkido un fonctionnement autonome, distinct du judo.
Il entre sous la direction de Maître Tamura au comité directeur de l’ ACFA (Association Culturelle Française d’Aïkido), puis à l’ UNA (Union Nationale d’Aïkido), structure représentant la 1ère tentative de réunification des différents groupes de l’aïkido français.
Il occupe alors différents postes:
Alain Peyrache se dépense sans compter aux côtés de Maître Tamura parti de l’ UNA, pour mettre en place la FFLAB ;
usant pour se faire de sa profonde connaissance de l’ensemble des rouages fédéraux, qu’il met à profit pour permettre le développement de l’esprit véritable de la pratique.
Beaucoup de pratiquants et de professeurs pourtant ne veulent pas rallier la FFLAB, pensant bien plus à leurs propres intérêts, qu’aux intérêts de leur discipline ;
ainsi sous l’impulsion de quelques uns, certains acceptent de se remettre sous la coupe du judo, pour constituer la 2F3A.
puisqu’elle conditionne l’essence même de la discipline ; dès lors, à vouloir faire de l’aïkido dans un cadre sportif qui lui est fondamentalement inadapté, on ne peut que détériorer cet art, pas à pas mais inéluctablement, jusqu’à le perdre entièrement.
Malgré l’insistance des dirigeants FFLAB , il refuse la présidence de la Commission Nationale des grades, restant d’une fidélité sans faille à l’esprit du dojo traditionnel.
C’est à cette époque qu’il rédige le Traité Didactique d’aïkido.
Son Curriculum parle pour lui : Membre du comité directeur des toutes les fédérations françaises historiques: ACFA UNA FFLAB Membre du comité national des grades RTN responsable technique national etc. En 1984, il y a donc 34 ans, il était l'un des tout premiers sixième dan Français. Brevet d'État deuxième degré, Diplômé du centre mondial d'aïkido de Tokyo (dojo du fondateur de l’Aïkido),
en mal de pouvoir et de reconnaissance. Les politiciens prenant davantage de pouvoir que les pratiquants, Alain Peyrache constate que tous ses efforts pour un aïkido traditionnel ont été gaspillés.
Devant les dérives de la FFLAB qui perd son « L », symbole de liberté, la FFLAB n’est plus libre, il démissionne de toutes ses fonctions.
Lassé de voir tant de pratiquants prêts à vendre leur maître pour satisfaire leur ego, il retourne enseigner dans ses dojos lyonnais et continue, à titre privé, d'assurer des stages dans toute la France et en Europe, à la demande de ses nombreux amis.
Il profite de ce temps pour faire le bilan de tout ce passé et notamment pour réaliser combien une structure peut être décisive sur l'avenir d'une discipline (cf. son ouvrage : " Fédérations et tradition ").
Durant cette période, il réfléchit et capitalise toute son expérience, il relève ainsi de nombreuses incohérences à la fois techniques mais aussi pédagogiques, tel l’enseignement axé sur la reproduction « singée » du mouvement sans rapport avec la réalité et sans développement autonome du pratiquant. Il constate également l’incompréhension des grades et leur exploitation dénaturée, les dérives sportives voire compétitives de la pratique…etc.
Méditant sur les bases mêmes de l'aïkido, sa recherche le conduit à dépouiller la discipline de tous les gestuels superflus, voir inutiles, souvent inventés par des " experts " japonais en quête de reconnaissance et de distinctions. Il redonne ainsi à l'aïkido, par des gestes précis et courts, son caractère martial et tout son sens, ainsi que l'avait créé le fondateur.
et avec le soutien de nombreux professeurs Européens lassés des institutions et des dérives Fédérales, Alain Peyrache créé L'EPA (Ecole Promotion Aïkido) à BRUXELLES ; pari un peu fou, lorsque l’on sait que nombre d’aïkidokas ambitieux vont au Japon pour avoir l’estampille japonaise… .
Conscient de la dimension limitée d'un aïkido National, (alors qu'O-Sensei en rupture avec le nationalisme japonais, enseignait la dimension universelle de son art et demandait à ses élèves de la diffuser à travers le monde),
Alain PEYRACHE a voulu d'emblée donner un siège européen à l'EPA. L’EPA se place dans un courant radicalement différent de celui proposé dans les structures fédérales existantes et sa création est née de la volonté profonde de conserver à l’aïkido sa pureté, sa philosophie en dehors des luttes pour le pouvoir et l’argent.
C’est aussi le choix de la liberté individuelle, on adhère à une conception de l’aïkido, à sa pratique et non à un système ou à une structure.
Cette structure accentue encore les échanges d'expériences impulsés par Alain PEYRACHE et son rôle fondamental dans le développement de cet aïkido universel, débarrassé des arrivismes nationaux, souhaité par le fondateur.
Depuis 1967 Alain Peyrache n’a de cesse de dispenser son savoir, à la fois unique et précieux, s’appuyant sur une profonde connaissance de la pédagogie. Chaque cours est structuré, développe une idée, est axé sur une progression.
Si l'étude technique est précise et rigoureuse pour ne pas dénaturer l'aspect martial de l'aïkido, il s'attache aussi, et avant tout, à mettre en évidence les principes de base qui sous-entendent ces techniques.
ne doit pas se poser uniquement la question des moyens, mais aussi des finalités : pratique efficace tout à fait capable d'apporter des solutions crédibles à des attaques réelles, séances adaptées pour apporter convivialité et plaisir à l'opposé des pratiques " intégristes " proches des pénitences imposées dans les sectes pour la domination des sujets, élimination des exercices traumatisants au profit de ceux qui permettent de protéger et fortifier le corps, incitation permanente à se dégager du modèle de l'enseignant ou des normes imposées par les " catalogues " nationaux pour trouver ses propres techniques en rapport avec sa morphologie, son tempérament
leur autonomie et leur capacité à rejeter toutes les pratiques sectaires et assujettissantes. Un sens critique aigu, la sincérité de sa recherche ont ainsi permis à Alain Peyrache d'éviter les principaux écueils qui ont hélas dénaturé l'enseignement des arts martiaux:
Son intransigeance dans ce domaine ne lui a pas toujours valu que des amis; il est même curieusement écarté des historiques qui fleurissent aujourd'hui sous la plume de ses anciens élèves ou collègues.
Profond connaisseur de la tradition orientale, expert en thérapies traditionnelles chinoises et en acupuncture, il s’investit de toute sa personne dans ce qui fait l’essence de la pratique, ne perdant pas son temps à distribuer des gratifications inutiles à ses élèves, mais sans user de jargons pseudo ésotériques incompréhensibles, il met à la portée de ses élèves une technique d’une extrême pureté avec simplicité et efficacité.
La voie qu’il enseigne est avant tout un apprentissage de l’autonomie.
De nombreux dojos dans le monde porte le nom d'Alain Peyrache comme Pontarlier (1)
(1) Alain Peyrache reçoit ici à Bordeaux la médaille de la ville lors d’un stage franco espagnol qu’il dirigeait, des mains de Pierre Garmendia, député socialiste de la Gironde, délégué aux relations franco-espagnoles à l’assemblée. à droite d’Alain Peyrache, son élève M. Truffault, cadre de haut niveau de l’armée française, Guy Bonnefond (5 mandats de président de la fédération française d’aikido et président de la fédération mondiale d’aikido), le président de la fédération d’aïkido espagnole.
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